Mon compagnon, Gilles, travaille sur des idées pour commercialiser mes livres. Je vous en dirai davantage plus tard !
A ce jour, depuis 3 semaines que les livres existent, 45 ont été vendus, à 21 personnes : 14 copains, 6 inconnus, et mes parents (quelle surprise pour moi ! J’étais persuadée qu’ils ne souhaiteraient pas me lire). Certaines en ont acheté pour leurs amis, leur famille.
Record détenu par un copain qui, après m’en avoir commandé 4, me demande de lui en apporter 8 la semaine prochaine !
Voici deux exemples de retours que j’ai eu le plaisir de découvrir dans ma messagerie Internet :
- […] Quelles émotions ! Ça m'a fait plaisir de te lire ou de te relire... comme tu t'en souviens peut-être, j'aime bien faire voyager les livres et je risque donc de les propager, malgré la dédicace ... à quand un bon gros roman ? Tu as le talent pour ! Encore merci pour tes écrits... […] Michael
- […] J'ai dévoré tes deux recueils de nouvelles, cet après-midi. J'adore, vraiment. Ces fins totalement inattendues, qui surgissent comme une claque... Et puis, en te lisant, j'en apprends un peu plus sur toi, c'est très émouvant... Ces textes viennent du plus profond de tes tripes, mais tu es parvenue à prendre de la distance par rapport à certains événements de ta vie, on le sent à ton écriture, souvent pleine d'humour.
Je t'adresse à nouveau toutes mes félicitations pour ton courage, ta discipline. Christine
Ces retours positifs émanent pour l’instant de copains, et je garde en tête le tableau établi par Aloysius Chabossot dans son désopilant ouvrage Comment devenir un brillant écrivain alors que rien (mais rien) ne vous y prédispose, éd. Milan, 2008 : d’après ce tableau, les deux commentaires précités émanant d’amis à la fois lecteurs circonspects et ayant une bonne plume, ils signifient que mes bouquins « présentent certaines qualités »… que des éditeurs apprécieront ou pas, en fonction de leurs goûts, des goûts de leur lectorat, de leur ligne éditrice actuelle et future, etc !
Autre chose : quelques hommes m’ont dit ne pas supporter le titre de mon premier recueil ; il les mettrait mal à l’aise. En revanche, ce titre semble attirer particulièrement les femmes – excepté ma pauvre mère (…)