Les retours positifs (lire l’article du 6 juin) que j’ai eus depuis la vente de mes premiers livres m’ont donné l’envie d’aller rendre visite à quelques libraires.
Accueil au mieux fuyant, et au pire, glacial !
J’ai crû comprendre que les auteurs autoéditeurs n’ont actuellement aucune chance – à moins d’avoir plus de tchatche que moi, ou un solide commercial comme partenaire ? - de voir trôner leurs œuvres sur les présentoirs : trop de livres à vendre ; seuls ceux recommandés par les éditeurs sont – éventuellement - dignes de librairies.
Du coup, cela m’a décidée à tenter ma chance (que j’estime, pour différentes raisons, néanmoins minime) auprès des éditions Le Dilettante et L’Olivier. Seul N’aie jamais d’enfant leur a été confié. Réponses d’ici environ deux mois…
Croyez-vous que le léger lien qui existe entre ma couverture et le logo des éd. Le Dilettante pourra jouer en ma faveur ?...
...Evidemment que non !