[Suite de La carotte rugit déjà !]
Le cri de la carotte résonne déjà en de nombreux endroits du ouèbe – Les points sur les i, Insolente Veggie, Société Vegan, Journal d'un végétarien, Sans tête ni jambes, Animauzine, Fluctuat, Facebook, les forums de Droits des Animaux, Veglorraine, VG, Vegeweb, et j’en oublie sûrement !...
Du coup, Insolente Veggie comme moi-même recevons pas mal de messages, dont certains sont assez rigolos :
- - Je t’ai reconnue, Insolente Veggie ! m’écrit une personne sur Facebook.
- Quels sont les liens qui vous unissent ? me questionne une autre via un courriel.
- C’est toi qui as écrit le livre ? demande un fan d’Insolente à celle-ci…
Bref, un billet sur le sujet s’imposait !
Voilà, vous allez tout savoir :
Au départ, il y a environ un an de cela, j’ai découvert le superblog d’Insolente et, comme tant de VG, en suis devenue accroc. De plus, j'utilise régulièrement ses coupons carotte et ses dessins m’ont même servi à agrémenter une conférence sur l’antispécisme.
Je ne sais plus pourquoi, peut-être parce que je l’avais avertie que je mettais en lien son blog dans le mien, nous avons commencé à nous envoyer de temps en temps des courriels. Alors, lorsque j’ai entrepris d'écrire Le cri de la carotte, je l’en ai informée. Aussitôt, elle m’a demandé à faire partie des relecteurs et relectrices du manuscrit. Ce que j’ai accepté avec joie ! Elle l’a lu avec un ami, critiqué, et approuvé ! Quant à moi, je lui ai demandé de pouvoir utiliser certains de ses dessins pour illustrer quelques passages ; dessins qu’elle m’a offerts, me proposant d’ailleurs d’en créer un original pour la couverture, mais je n’en avais pas besoin : j’avais déjà fait mon choix !
Au final : je suis très heureuse que mon livre ait pu bénéficier d’une illustratrice telle Insolente Veggie, dont la contribution aux avancées de la prise de conscience collective en matière d’exploitation et souffrance des animaux est considérable. Son blog est en effet une mine d’idées, et il utilise l’humour, arme que j’affectionne particulièrement. Mais de tout cela, je parle, bien entendu, et de façon approfondie, dans Le cri de la carotte !